Bon,bonjour.
Je refais tout.
Je ne sais pas si vous accepterez mais qui ne tente rien n'a rien.
Je me risque.
Ceci est une aventure forte de ma vie de disciple Féca mais pas ma vie entière trop grande à raconter.
Je lui ai donné le nom de : Ruines Des Larves.
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Je m'appelle Legendary-Kor. Je suis féca d'Amakna et ceci est mon carnet de route, et sans doute, mon testament.
Je suis arrivé à Astrub il y a quelques jours.Ahhh, si seulement la petite taverne Feca, près des docks n'avait pas été aussi attirante...
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Les choses ont été difficiles pour moi ces derniers temps, aussi ai-je accueilli les rumeurs concernant les supposés tunnels sous la ville comme une espèce de signe Féca.Il se disaient que les larves qui y habitaient avaient l'habitude d'entasser dans leur tanière tout un tas d'objets divers récupérés sur les aventuriers les moins fort, dégourdis.
Par ailleurs, les larves fournissent nombre de matériaux ou de choses utiles dont je pourrais tirer bon prix qur le marché de La Grand Place.
Je fis donc mon paquetage avec le peu qu'il me restait :
une paire de dagues de bon acier bontarien, quelques gâteaux secs et une fiole de soin probbalement périmée.
Je me trouvais, le lendemain, dès l'Aurore, devant ce fameux tunnel, où les enutrofs rentraient et sortaient des brouettes pleines à craquer de minerais.
Je me décida finalement, à m'y engouffrer.
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JOUR 1 :
Une vaste caverne au sol composé de dallages anciens.J'y ai vu une Iopette et une Crâ éliminer de fragiles larves, assez facilement.
Bilan:
Quelques égratinures mineures pour la crâ.Quelques matériaux précieux et un un grand morceau de peau de larve pouvant faire une ceinture que la Iopette s'est appoprié très vite.
Je décida de suivre les filles, et de me poster en sauveur à l'occasion.
JOUR 2 :
De plus grosses larves trînent dans le coin, et plus aucun signalement des enutrofs. La crâ se prit un retour de flamme de son sort sur la jambe qui saigna abondamment.
Les filles décidèrent de faire une halte pour la nuit.
Bilan : Une hache en pas trop mauvais état.A vue d'oeil les filles en ont pour 2000 ou 2500 Kamas.
JOUR 3 :
Je failli rater le départ de mes compagnes, me réveillant dans l'angoisse des bruits de sucion résonnant sur les parois de la grotte.Nous arrivâmes dans une salle où de grosses larves semblaient se délecter des maigres plantes qui poussaient sur le sol boueux du sombre endroit.
Les filles durent se frayer un chemin de force, taillant toutes les larves qui semblaient vouloir s'opposer à elles.Bilan :
Deux armes et de quoi se faire des bottes en larve verte.Je salivais à l'idée des prochaines salles...Il y en avait pour probablement, des milliers de kamas.Je sentais presque l'argent peser dans mes poches.
JOUR 4 :
Les frustres cavernes finirent par redéboucher dans d'autres ruines et on pouvait entendre le rugissement d'une cascade lointaine.
Les choses se compliquèrent pour mes accompagnatrices et je fus à deux doigts de bondir hors de ma cache lorsque la Iopette mit genou à terre.
Bilan :
La lutte fut acharnée, mais en valut le coup et de loin : Trois armes différentes et 2 fragments équipables de larves à se répartir, les filles étaient déjà riche à ce point.Elles firent halte sur une petite plateforme de pierre.Pour ma part, je restais à couvert en me cachant sous les arches du cours d'eau souterrain, sur une petite avancée herbeuse...Demain, je pensais, serait le bon moment pour sortir de l'ombre et me poser en sauveur...et récolter une bonne partie du butin au passage.
JOUR 5 :
Je me révaillais cette fois-ci avec de l'avance, ce qui me permit de m'avancer dans les ruines suivantes, afin de tâter un peu plus le terrain.
Cette erreur scella mon destin : sitôt arrivais-je que je fus pris dans le tourment du combat, les Larves sur-agressives à mon approche de leur nid...Je ne dus ma survie qu'à quelques pièges bien placés, un passage exigu au nord de la salle m'ayant permis de gérer le flot larves en approche, et l'intention de celles que j'aurais dû sauver, moi.
Quelle honte de me retrouver dans cette position alors que j'avais tout planifié depuis le départ !
Enfin...
Nous partageâmes un maigre butin, cette fois-ci : à peine quelques fragments de larves bon à revendre à quelques artisans.C'est quand nous décidâmes de faire demi-tour pour regagner la surface que nous nous apercûmes que le chemin derrière nous avait été scellé.Il fut donc décidé de continuer...
JOUR 6 :
C'est ici, et maintenant. Je ne sais trop comment décrire ce qui nous advint dès que nous posâmes le pied au début de ces ruines poussiéreuses.
Vague après vague les larves nous tombaient dessus, avides apparemment de nos dépouilles .
Mes deux compagnonnes d'infortune commencèrent, alors, à donner signes de faiblesse.Mais que peut il bien se cacher derrière l'agressivité de ces larves ?
Ô ! Féca, pourquoi ne suis je pas resté en Amakna ?
Je suis maintenant tapi dans l'ombre de cette ruine, contemplant tristement les dépouilles des larves.
Je vois la Iopette panser les plaies de son amie, en vain je le crains, car j'aperçois là bas, la matière gluante et les voiles d'une immense Larve beaucoup plus grosse que les autres...
Je vais jeter ce témoignage de mon passage dans la rivière souterraine...
Par la miséricorde de Sacrieur, cette créature d'un vert écoeurant.. comme des espèces de tentacules qui ondulent autour de son corps boursouflé...
Et ses yeux... ses yeux !
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Vous l'aurez compris c'est mon aventure (dernière) et pas un RP.
Je voulais que vous voyez les détails et capacités de ce texte.
Cordialement, Kor.