Théât'Raval
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 les histoires d'amour finissent mal en général

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Ninon
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Ninon


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MessageSujet: les histoires d'amour finissent mal en général   les histoires d'amour finissent mal en général Icon_minitimeJeu 30 Juil - 17:15

Ninon, à la recherche d'une occupation, se promenait dans le bâtiment du Théât'Raval, quand elle aperçu une petite porte. Elle s'approcha de la porte et l'ouvrit, et redécouvrit une petite pièce où un certain nombre de conte fût raconté. La pièce était illuminée par la lumière du soleil à travers les portes fenêtres, mais le sol était gris de poussière et les toiles d'araignées était accroché dans les escaliers qui menait à l'étage ou se trouvait la salle de bain et un atelier. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas venu, aussi fit-elle un brin de ménage, puis s'asseya dans un coin de la pièce, pour conter une histoire, en espérant attirer un peu de monde.

Ninon : Qu'est-ce que je pourrais raconter... L'histoire de... Non déjà racontée... Ah je sais,
celle de la jeune crâ d'Amakna... hum hum...


Il fût une fois une jeune crâ aux yeux bleu ciel, aux cheveux marron terre et à la bouche rouge feu. C'était au temps des grandes plaines desertes, le temps ou bonta et brakmâr n'existait pas, le temps où tout le monde était pauvre. Cette jeune crâ avait 19 ans, et se nommait Severine.
Elle avait perdu ses parents, et vivait dans une cabane dans un coin reculé d'Amakna. Elle se débrouillait seule pour se nourrir et s'entretenir. Elle pêchait dans un lac près de sa maison, et se soignait avec des herbes médicinales qui poussaient partout autour de sa cabane. Elle vivait assez paisiblement, loin des pillards et des arnaqueurs. Quand elle s'ennuyait, elle dansait, ou alors elle dessinait sur les écorces d'arbres. Sa vie à l'écart du monde était, pour l'époque, parfaite.
Mais, un jour, il y eu un incendie dans la forêt qui brûla sa cabane et fit disparaître toute ses richesses. Par bonheur, elle réussit à s'éloigner des flammes, mais s'évanouit non loin à cause de la fumée.

Quelques jours après, Severine se réveilla dans un grand lit, au centre d'un petite pièce. Elle leva les yeux et aperçu un eniripsa vieux, petit, gros, moustachu et roux aux yeux verts.

Severine : Où... où suis-je ?
??? : Corbeau !! viens vite, elle se reveille !! Vous êtes à Sufokia ma belle. Mon nom est Orjack.
Severine : ... Sufokia ? Que s'est-il passé ? Pourquoi suis-je ici ?
Orjack : Des chasseurs vous ont trouvés évanouie et vous ont ramenés ici. Je suis un soigneur professionnel et... Ah Corbeau, enfin te voilà !

Un grand crâ apparu. C'était Corbeau. Il était blond avec des yeux noirs, ce qui faisait un contraste magnifique. Juste en se voyant, ils eurent le coup de foudre.

Corbeau : Hum je... Bonjour...
Severine : ...Bonjour...

Severine replaça une mèche de cheveux derrière son oreille. Ses yeux n'arrivait pas à se détacher de Corbeau.

Orjack : Mademoiselle, je vous présente Corbeau, mon assistant, qui est comme mon fils.
Severine : Je... Je m'appelle Severine...

La crâette tenta de se lever, mais une douleur atroce au genoux se fit sentir.

Severine : Aïe !
Orjack : ah oui j'ai oublié de vous dire qu'en vous évanouissant, vous vous êtes apparemment cassé le genoux... Il va falloir que vous restiez quelques temps avec nous... Mais vous avez sans doutes faim... Corbeau, vas lui chercher à manger !!
Corbeau : Heu oui tout de suite Orjack !
Orjack : Ce gosse est timide est empoté, il ne faut pas lui en vouloir. Bon vous m'excuserait mais je vais vous laisser Severine, sinon c'est ma femme qui va être contente. A demain !
Severine : A demain monsieur.

Corbeau failli bousculer Orjack en entrant dans la pièce. Il s'approcha de Severine et lui tendit le plateau.

Corbeau : tenez mademoiselle, du rôti de sanglier... Heu...
Severine : Je... Merci beaucoup.

Des mois s'écoulèrent, Corbeau venait très souvent voir Severine, et ils parlaient quelques heures, puis Corbeau repartait. Severine était maintenant guérie, elle s'était acheté une maison avec l'aide d'Orjack, et Corbeau continuait de lui rendre visite. Un jour, Corbeau demanda :
Corbeau : Tu vivais où avant ? Tu n'es pas d'ici...
Severine : Je vivais dans un coin reculé d'Amakna...

Severine passa l'après-midi à raconter son histoire, mais Corbeau l'écouta en entier. Quand elle eut fini, elle demanda à Corbeau :

Severine : Et toi, comment es-tu arrivé ici ?
Corbeau : Quand j'étais tout petit, mes parents sont morts alors que l'on vivait, nous aussi, en Amakna. C'est Orjack qui m'a trouvé et qui m'a élevé avec sa femme. Il m'a tout appris. J'ai grandis correctement grâce à deux eniripsas qui sont les plus grand soigneurs de Sufokia. A 18 ans, en âge de me marier, j'ai rencontré une jeune ecaflip dont je suis tombé amoureux, et c'est aujourd'hui mon épouse et nous avons une fille : Francine, une jeune ecaflip archer...

Severine n'en revenait pas. Corbeau était marié, il avait un enfant. La haine et la tristesse l'envahit soudainement, mais elle s'empêcha de pleurer et écouta la suite.

Corbeau : deux ans après, Des chasseurs ramènent à Orjack une jeune fille évanouie et blessée. Elle était belle comme le printemps et sa voix était si douce... Je regrettais d'être marié. Je t'aime.

Pas de détails sur ce qu'il se passe ensuite, vous comprendrez tout seul. Donc, peu après...

Severine : Corbeau, enfuyons-nous ensemble, très loin d'ici.
Corbeau : Je ne veux pas décevoir Orjack, je lui dois tant de choses.

Severine fut donc la maîtresse de Corbeau pendant deux ans, jusqu'à ce que sa femme, Martina, trouve que son mari était bien trop absent en ce moment. Alors un soir, Martina demanda à Corbeau :

Martina : Dis-moi chéri, où vas-tu quand tu pars les soirs ou les après-midi, pour ne revenir que cinq heures après ?
Corbeau : Eh bien à la chasse !
Martina : Hum...
Corbeau s'il te plaît chérie, je suis fatigué, laisse moi m'endormir tranquillement...

Martina sentait que son mari mentait, alors un jour elle décida de le suivre. Vêtu d'une longue cape, elle suivait son mari parmi les ruelles les plus étroites. Soudainement, il s'arrêta devant une petite maison, introduit une clef dans la serrure, puis entra, en fermant la porte à clef derrière lui. Martina l'observa depuis une fenêtre, et la haine l'envahit. Elle rentra chez elle, un plan diabolique en tête. Cette nuit, elle se rendrait chez cette autre femme. Comme prévu, Corbeau rentra tard et parti s'affaler sur le lit. Martina faisait semblent de dormir. Elle le vit déposer la clef sous une armoire. quand il s'endormit, elle prit la clef, son magnifique jeu de carte, enfila des gants et une cape. Le lendemain, on retrouva le corps de Severine au milieu du salon de sa maison, le cadavre transpercé de cartes, et celui de Corbeau, à l'étage, sans tête. Quand à Martina et Francine, elles ont disparu de Sufokia.

Voilà donc, je suis vraiment désolée pour tout ceux qui croyaient que Severine et Corbeau allaient se marier.

Titi : cui cui.

Ninon : Oui je sais.

Ninon ouvrit les portes-fenêtres puis s'assit sur le divan en attendant une réaction qui allait surement mettre beaucoup de temps à arriver...





cat


Dernière édition par Ninon le Mar 24 Nov - 14:32, édité 1 fois (Raison : ><")
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