Un soldat malheureux

Babakool entra dans le théât'raval, et avait envie de raconter une histoire...
Il la nomma "Un soldat malheureux", et commença son récit...


Ce fût l'histoire d'un jeune feca portant le nom de Matho, d'origine Amaknéen, enrôlé dans l'armée bontarienne.
Il y passa toute son enfance, et il fût couronné par son courage, et son service donné à l'armée.
Un soir de pluie, son général, nommé Bafildur, lui donna une mission de la plus haute importance...
il devait infiltrer la ville brakmarienne, afin de détruire une réserve d'armes mais aussi assasiner un général ennemi nommé Qwelpo, résidant dans un manoir gardé par plusieurs soldats d'élite.

La mission était peine perdue, et ça, Bafildur le savait.
Il ordonna à deux soldats, de l'accompagner pour cette quête.
Ces deux soldats, il les connaissait. Titrof et Gareth, étaient de très bons soldat, mais pour Matho, qui dit soldat dit partenaire, partenaire dit ami...
En effet, ces deux hommes étaient les seuls amis de Matho.
Les trois soldats sortaient de la citadelle blanchâtre, découvrant les dragodindes que Bafildur leur mit à disposition.

Matho: Dépêchons-nous, mes braves, il suffirait que le soleil se lève avant que nous partions, pour que celui-ci soit le dernier que l'on pourrait voir.

Titrof et Gareth: Bien, allons-y.

Ils traversèrent les plaines de Cania, jusqu'à ce qu'ils arrivèrent sur une terre noire, et hostile.
Arrivés devant le pont, ils pouvaient voir le soldat brakmarien, guetter à son poste.

Titrof: Nous allons assomer le garde pour passer, utilisons notre parchemin d'invisibilité.

Matho: Bafildur m'a parlé d'un passage en dessous du pont, qui mènerait aux égoûts de la ville.

Gareth: Pas de temps à perdre, allons-y.

Ils traversèrent les égoûts, et par chance, ne firent aucune mauvaise rencontre.
Une fois arrivés à la réserve d'armes, les trois soldats bontariens restèrent tapis dans l'ombre.
Plusieurs soldats gardaient la réserve, et un semblait être plus cruel que les autres, en effet ses ailes flamboyantes crachaient une envie de tuer extrème.

Matho: Nous n'avons plus qu'une solution: nous devons attaquer.
Titrof: Non, combattre alerterait les autres, et ce serait finit de nous.
Gareth: Je propose que l'on attire des gardes, que l'on les assome, et que l'on vole leurs uniformes.
Matho: Bonne idée, mon ami! Fais couiner l'unes de tes poupées, et on les assome.

"Ouin!"

Le grand démon, tourna la tête vers notre direction, et dit.

Dedraden: Qu'est-ce que c'était? Torth, Vrad, allez voir.

Torth, Vrad: Tout de suite, Maitre Dedraden.

Les deux soldats arrivèrent, à pas de loup.

Matho: Que faire? Il n'y en a que deux!

Gareth: Titrof et moi, allons se charger de la réserve. Quant à toi, rends-toi à la résidence, et mets un terme à l'existence de ce général.

Matho: Très bien, bonne chance mes amis. On se rejoind à l'aube, devant le pont.

Titrof: Bonne chance, va de l'avant Matho.

Matho partit aussitôt discrètement en direction de la résidence, sans se soucier de ce qu'il allait advenir de ses amis...
Les deux gardes rouges arrivèrent à côté de Titrof et Gareth, qui leurs sautèrent dessus, sans qu'ils n'aient le temps d'alerter les autres.
Habillés en Brakmariens, cachant leurs ailes, ils sortirent de l'ombre et passèrent devant les soldats. Le dénommé Dedraden s'arrêta devant eux.

Dedraden: Alors?
Titrof: Ce n'était qu'un chacha errant.
Dedraden: Eh bien, retournez donc à votre poste, soldats.
Gareth: Bien.

Ils se mirent au garde-à-vous, à la place de leurs vrais soldats.
Lorsque Dedraden eût le dos tourné, ils commençèrent à s'approcher de la porte.
Mais le Maitre, les aperçut...il désigna trois autres soldats.

Dedraden: Messieurs, arrêtez ces hommes.

Les soldats se regroupèrent autour d'eux, et Dedraden, se mit en face, et dit.

Dedraden: Rappellez-moi vos grades messieurs.

Ils étaient piégés, la moindre erreur coûtait la vie.

Dedraden: Voyez-vous, mes soldats sont très disciplinés. Dès que je leurs donne un ordre, ils l'executent, et disent "Oui Maître". Ce ne fût pas votre cas, montrez moi vos ailes.

Les soldats enlevèrent leurs uniformes, laissant place à deux paires de ailes blanchâtres, d'une énorme épaisseur.

Dedraden: Des bontariens, tiens tiens... le général sera heureux d'apprendre l'intrusion de misérables rats de votre espèce!

Pendant ce temps-là, Matho arriva devant la demeure.
Quelques gardes étaient devant la maison, il contourna alors celle-ci, et entra par la fenêtre de derrière.
La maison était silencieuse, et le noir envahissait la pièce.
Au premier étage se trouvait sa cible, il fallait faire vite, afin de retourner voir ses amis.
Il monta les escaliers discrètement, et ouvrit la chambre du général.
Il dormait dans un lit immense, et ne manifesta aucun mouvement malgré la présence de Matho.
Il sortit son épée, marcha juqu'au lit, lorsque soudain, un bruit vena de l'étage inférieur.
Matho se cacha dans une armoire, et attendit la venue d'un homme masqué, dans la chambre de son supérieur. Il réveilla Qwelpo.

Soldat???: Général Qwelpo, réveillez-vous! C'est de la plus haute importance!

Qwelpo: Eh bien, Donem, qu'y a t-il?

Domen: Mon Maitre Dedraden m'informe qu'il a arrêté deux hommes bontariens en train d'essayer de détruire la réserve d'armes.

Qwelpo: Quels misérables vermines! Ils paieront pour leur stupidité!
Qu'on les torture! Ils doivent parler de leur plan secret, je dois leur soutirer quelques infos.
Retourne à ton poste, je m'occupe d'eux.
Les deux brakmariens sortirent de la maison, il décida alors de suivre sa cible.
La tuer tout de suite, le désavantagerait, il ne saurait où ses amis sont enfermés.
Qwelpo entra dans un cachot, seul, et Matho pouvait voir ses amis collés au mur.
Il était horifié: ces barbares les avaient acrochés au mur avec des pieux, enfoncés dans leurs ailes. Titrof avait perdu connaissance, et Gareth respirait lentement.

Qwelpo s'avança vers eux...

Qwelpo: Bonsoir Messieurs. Je viens vous soutirer quelques informations, après, je vous relâcherai.

Gareth ne le regardait pas, et cela l'énervait.

Qwelpo: De belles ailes, dommage que l'on soit obligé de les arracher, la blancheur est signe de mauvaise foie. Vous autres, bontariens, allez souffrir tant que vous serez en vie.

C'en était trop. Matho s'avança derrière Qwelpo, afin de lui donner le coup fatal, mais une masse s'abbatit sur sa tête...puis, plus rien....


Lors de son réveille, il se trouva attaché à côté de ses amis, Qwelpo et Dedraden en face.

Qwelpo: Quelle belle prise, je te félicite Dedraden.

Dedraden: Tout le plaisir est pour moi.

Qwelpo: Eh bien, jeune feca, parles, je t'écoute.

Matho resta muet.

Qwelpo: C'est désolant, ces anges sont si malpolis. Peut-être que si tu tuais l'un de ses
amis, il manifestera?

Matho: NON!

Qwelpo: Parles! Ou tes amis paieront pour ton impolitesse!

Gareth: Ne dis rien, Matho, ne dis...ARRRRRRRRRG

Dedraden venait de lui couper la george. Son sang se répondait sur le visage terrifié de Matho...
Titrof, les larmes aux yeux, cria de toutes ses forces...
Titrof: MONSTRES! ALLEZ EN ENFER, SOYEZ PUNIS PAR LES ARCHANGES!
Dedraden: Tss, Je vais t'apprendre à te taire, misérable insecte!

Il entailla le ventre de Titrof, qui hurla de douleur, et finit par se taire quelques temps après.
Ce cri résonnait dans la tête de Matho, le feca était en pleurs, il venait de perdre ses deux meilleurs amis...

Qwelpo: Alors? Vas-tu parler?
Matho: LACHES! VOUS MERITEZ PAS LA VIE, LORSQUE L'ON VOIT CE QUE VOUS EN FAITES!
DEUX ÊTRES CHERS, VIENNENT DE PERDRE LA VIE, LAISSEZ MOI LES REJOINDRE! OU JE VOUS TUERAI!
Qwelpo: Quelle impolitesse! Dedraden, j'exige une mort plus douce pour celui-ci. Fais ce que tu en veux.

Dedraden: Bien.

Le lendemain, une silhouette accrochée à un arbre bontarien, fit l'horrible appararition devant la fenêtre de Balfidur...

Ces démons sont abjects ! Oser faire ça à des êtres aux ailes rayonantes ! Pauvre Matho, être envoyé dans une mission impossible Ce Bafildur est aussi horrible que les ailes flamboyantes.

repense à toutes ces missions infiltrations qu'elle a déjà faites, en ressentant un frisson glacial.

Brrrrr ! je vais arrêter ces choses dangereuses moi...

Babakool accepta volontier de boire une bière avec Tyson.
Ils discutèrent à propos du récit de Baba, et Tyson le questionna.

Tyson: Y'a quand même un truc qui me chiffone, je comprends pas la fin...Bafildur...qu'est-ce qu'il devient à la fin?

Babakool reprit une georgée.

Babakool: Bafildur, se disait toujours coupable de la mort de trois élites bontariens, il vécut sous la peur des repraisailles des autres générals, qui avaient beau lui expliquer que ce n'était pas de sa faute, que quelque chose s'est mal passé.
Quelques années plus tard, il décida d'aller venger ses soldats, en allant directement à Brakmar.
Il y rencontra Dedraden, qui à la place d'alerter ses soldats, prit plaisir à vouloir défier le général, qui avait dans le passé, envoyé ses soldats à la mort.
Ce fût un combat acharné, la haine de Bafildur était plus forte que l'envie de tuer à Dedraden.
Bafildur sortit vainqueur du combat, mais par pitié, laissa Dedraden sur le sol, sans l'achever.
Il sentait la fatigue plus qu'elle n'apparaissait. Il arriva à la demeure de Qwelpo, qui avait posé des pièges d'imobilisations dans l'entrée de la maison.
Bafildur ne pouvait que regarder son ennemi mortel descendre des escaliers, alerté par le bruit, et fût torturé à mort par celui-ci.
Des soldats bontariens retrouvèrent le corps du général au fond d'un lac situé dans les montagnes, le corps couvert de bleus, et était écrit sur son dos avec un objet pointu, "Salutations de Qwelpo .Il fût enterré à côté de la tombe du Soldat Matho, et des deux tombes vides de Titrof et Gareth.

Il arrêta son récit.

Babakool: Bar-man, une autre bière s'il te plait.

Le Iop écoutait attentivement l'histoire. Mais peu à peu, pendant celle-ci, ses yeux devenaient rouges et un sourire sadique se dessinait lentement sur son visage. A la fin de l'histoire, après la réponse de Babakool à la question de Tyson, Ruan se releva, observant les hommes présents.

"Hé hé hé... Tout cela m'a donné des idées... Z'auriez pas une paire de ciseaux ? Que j'aille découper quelques paires d'ailes plumées ! Niark Niark Niark !"

Il sortit de la salle en poussant un rire démoniaque. Nul ne savait ce qu'il allait faire après. Mais derrière le bâtiment des Théât'Ravaliens, on pouvait voir des effusions de sang, on pouvait entendre des cris et un rire sadique...

"Mouahahahahahaha !!!"

Les cris n'étaient pas des cris d'hommes, loin de là, le Iop était en train de trancher les ailes d'un Bitouf aérien avec son épée, faisant hurler la pauvre bête...

"Ce soir on mange du Bitouf !"

Fier de lui, il enlevait son tablier couvert de sang, plumait les ailes et plaçait le tout sur une poêle.

"Les grands contes inspirent toujours les grands cuisiniers."

Voyage avait écouté, à moitié effrayé par une telle torture. Quand il entendit Ruan partir...

Ruan, non ! Arrête !

C'est malin Babakool !

Le Iop en question revint alors...

Ruan : Ce soir on mange du Bitouf !

Voyage : /Think Au secours, pas le Bitouf... C'est ce qu'il cuisine le plus mal...

Notre Féca tourna la tête... A vue d'oeil (logique, on ne voit que grâce à l'oeil) les autres n'étaient pas charmés non plus...

Heu... euh... T'as rien d'autre que du Bitouf ?

Il entendit alors un Bam, suivit d'un Pandapatatrapambimpoum, regarda à sa gauche...

Oh non, Tagazokc a fait tomber tous ses cubes à l'étage inférieur...

Il regarda la peluche Chacha en piteux état, puis Tagazokc, qui répondit par un "Arreuh" significatif... Il s'était cogné quelque part, sans doute retombé en enfance...

Hum... Bon, Tavernier, vous avez du Laitlait ?

Babakool arrêta de parler, et reprit une bière.
Ruan était là aussi, mais lui, ricanait.

Ruan-iop: Hé hé hé... Tout cela m'a donné des idées...
Z'auriez pas une paire de ciseaux ? Que j'aille découper quelques
paires d'ailes plumées ! Niark Niark Niark !

Babakool: Que vas-tu faire avec une paire de ciseaux???

Trop tard, il était parti dans le jardin.
Nous regardâmes par la fenêtre, et nous vîmes des effusions de sang partant dans tous les sens.

"Mouahahahahahaha !!!"

On entendait ricaner, on imaginait le pire...
C'est alors que Ruan-iop rentra, ensanglanté, avec un morceau de viande...

Ruan-iop: Ce soir on mange du Bitouf !

Babakool: Oh non, encore du Bitouf...

Voyage était assis à côté de Babakool, triste lui aussi que l'on mange du Bitouf, et notre Féca demanda pourquoi le général Bontarien avait demandé aux trois hommes de tuer le général adverse...

Parce que je suppose que ce n'est pas sans raison ?

Soudain, un énorme BOUM se fit entendre : Tagazokc avait lancé le plus gros cube sur la tête de Ruan. Un son affreusement creux, ouhlà... Puis Ruan partit en cuisine en maugréant.

Je crois l'entendre aiguiser son couteau et fulminer contre Taga'...

Il prit des Pop-up Cornes, et s'installa confortablement. Le spectacle allait être sympathique.

Babakool, désespéré par le repas du soir, s'asseya à côté de Voyage.

Voyage: Pourquoi le général Bontarien avait demandé aux trois hommes de tuer le général adverse?

Babakool: Eh bien, ils étaient en guerre, donc pour le général bontarien c'était comme une partie d'echecs, t'élimines les pièces les plus dangereuses, pour assurer la victoire. C'est ainsi qu'il envoya ses meilleurs hommes, afin d'assurer la victoire. Il suffirait que un général soit mort pour que les soldats ne savent plus quoi fai...
Il fût interrompu par un bruit, comme si un objet percutait quelqu'un...
C'est alors qu'il vit Tagzock envoyait des cubes à Ruan, il décida alors de se cacher derrière le canapé...

Ruan venait de se prendre un cube dans la tête... Ses yeux devenaient rouges. Il partait dans la cuisine aiguiser son couteau. De la pièce principale on pouvait entendre.

"Mouahahahaa ! Je vais le trancher en petits morceaux ! Puis écarteler les différentes parties ! Niark niark niark !"

Le bruit du couteau s'aiguisant sur une pierre était assez stressant. Personne ne savait quelle réaction allait avoir le Iop, ils en avaient malgré tout une petite idée.
Soudain les portes de la cuisine s'ouvraient, laissant la place à Ruan, un courant d'air sortait de ces mêmes portes apportant un vent frais à la pièce, un vent allant jusqu'à glacer le sang... Il se mettait à pleuvoir dehors, les nuages couvraient entièrement le ciel, ne laissant plus passer aucun rayon de soleils. Une atmosphère affreusement pesante venait de s'installer.

"Mouahahahahahaha !!!"

Tel était le rire démoniaque que poussait le disciple de Iop en sortant son couteau de boucher plein de sang de Bitouf. Il ouvrait largement la bouche en riant, montrant ses canines pointues, telles celles d'un vampire. Le rire sadique résonnait encore dans toute la pièce.
Puis en un instant s'installait un silence blanc rapidement percé par un coup de tonnerre illuminant la pièce, laissant entrevoir aux autres le sourire sadique du Iop.

"Tagazokc...."

Dans son autre main, il montrait un petit cube.

"Ce cube..."

Il le posa sur la table... Ruan soulevait son immense couteau de boucher en poussant un grand rire. C'est alors que le couteau s'abattait sur sa cible... S'en suivit un nouveau rire.

"Mouahahahahahaaa !!!"

Le cube sur la table venait d'être coupé en deux. Comme prévu, Ruan le coupait en petits morceaux et écartelait les différentes parties du cube...

"Ce cube était vide à l'intérieur ! C'est cela qui a produit ce bruit creux quand il est tombé sur ma tête. Sur ce ! Je vais dans mes appartements !"

En partant il se cogna la tête contre une petite poutre, un bruit creux sortit... Mais le Iop avait la flemme de découper la poutre.

Tagazokc était parti se cacher derrière son mur fait avec 5 cubes restant. A la fin, il lâcha :

- Ce Iop est vraiment un phénomène… Plus débile que ma peluche de chacha.

Il semblerait qu'un morceau de cube frappa Tagazokc a la tête et le fit redevenir normal

Voyage écoutait d'une oreille la réponse de Babakool, intéressé. De l'autre, la dispute entre Ruan et le cube... oui, il réfléchissait à deux choses à la fois. Quand Ruan partit en lançant un grand rire puis se cognant à la poutre, notre Féca se demanda pourquoi celui-ci persévérait à croire que ce n'était pas sa tête de vide...

Voyage : Mais franchement... il est bête.

Tagazokc : ...plus bête que ma peluche Chacha...

Il regarda le cube découpé en 27 morceux égaux... et ne put s'empêcher de lâcher :

Et c'est ainsi que naquit le Rumix Cube...

Voyant que Tagazokc était redevenu normal, il lui paya une bière, puis but son laitlait qui était plus que froid alors qu'il l'avait commandé chaud... Il resta pensif.

Suite au terrible orage qui éclata. La jeune Ecawhite courrut vers la maison assombrie, pensant être enfin à l'abris.

Elle entra, soufflant un bon coup, puis se secoua pour enlever l'excès d'eau sur son pelage blanc.

Elle avança dans la pièce qu'elle trouvait bien animée.

Sharo : Coucou ! C'est moi, Sha...... AAAAAHHHHH !!!!

Elle cria, surprise de terreur.
Tagazokc qui buvait tranquillement son laitlait froid, sursauta à cause du cri et en renversa partout sur son pyjama rose.

Tagazokc : Ahh ! c'est froid !
Tagazokc murmure :Et mon pyjama préféré tout mouillé !...

Sharo : Que s'est il passé ici ? qu'est ce que ces cubes partout par terre ? Et surtout, pourquoi y a t-il de grosses tâches sanglantes par terre ??

Par un excès de peur, l'écatte s'évanouit. En tombant, sa tête cogna celle de Ruan, et un son creux retentit.

Tagazokc, venant qu'il portait son pyjama rose de gosse, parti vite se changer.
Il revint 2 minutes plus tard, habillé correctement.
Il prit une bière, puis lança :

- Ce Bafildur est vraiment un Bon à rien, je l'aurais tué moi le Dremachin !

C'est alors qu'il se trompa de bière et prit celle de Tyson, qui contenait un somnifère.
Il s'endormit directement.

Un Bontarien, corrigea Voyage avant de voir Tyson et Tagazokc plongé dans un profond someil...

Pff, ces deux-là dorment...

Il regarda Babakool.

Mais pourquoi, vraiment, se font-ils la guerre alors que la paix existe ?! Pourquoi tant de haine alors qu'ils pourraient s'allier contre un ennemi commun ? Le TEMPS... Car les cités mourront. Un jour. Car elles ne se seront pas alliées...

Babakool resta pensif, et Voyage but sa dernière gorgée de son verre de Laitlait - il n'aimait pas la bière -. Il but le somnifère et s'affala lourdement. Quelqu'un avait glissé du somnifère dans chaque verre. Quelqu'un qui ne devait pas leur vouloir que du bien...

Babakool resta pensif à la remarque de Voyage.

Babakool: c'est vrai, pourquoi pas combattre un ennemi commun? Mais aucune des citadelles ne veulent être associés à leurs enne...

Voyage s'écrasa lourdement sur sol ce qui fit arrêter le raisonnement de Baba.
Il remarqua que Tyson était endormi sur son fauteuil, que Sharo était dans le même état sur le sol ainsi que Tagada...

Babakool: Ben? Il est n'est pas l'heure pourtant? Oh! *regarde le comptoir* il reste de la bière!

C'est alors que la georgée de Baba fit endormir celui-ci...

Voyage se réveilla après un someil étrange, peuplé de rêves inssaisissables... Ils étaient ligotés, mais ses compagnons dormaient encore.

Bon sang... où... où sommes-nous ?

Une étrange odeur de soufre planait dans l'air. On pouvait distinguer au loin un portail en fer forgé avec un verrou et une rivière de lave pas loin... mais Voyage n'en était pas sûr. Tout était encore brumeux dans son esprit.

Je rêve ou nous sommes... à...

Au moment où il s'apprêtait à parler, un bruit se fit entendre. Quelqu'un arrivait.

Ninon était, depuis le début, assise dans l'ombre près du comptoir. elle avait tout observé en silence, avait regarder ses camarades dormir, qui dormaient encore. elle se leva de sa chaise pour s'approcher de chacun d'eux et leur fit une bise.

Ninon: bonne nuit, entendez-moi dans vos magnifiques (je l'éspère) rêve. viens Titi, sortons pour ne pas les déranger.

Titi: cui?

la jeune femme et son tofu sortirent en silence, pour ne pas reveiller les autres. dehors, elle respira un grand coup et s'allongea sur le côté pour ceuillir les paquerêtes.

Ninon: il m'aime, un peu, beaucoup, passionément, à la folie... à la folie!